dimanche 25 janvier 2009

Reportages (bis)

Voici un autre reportage de José Alcala suite à l'accident de personne en gare de Paris-St-Lazare ce vendredi 23 janvier dernier, qu'il m'est permis par son auteur de diffuser sur ce blog.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

2h30 pour "évacuer un accident de personne" (gravement bléssé en plus!)et faire sortir les passagers des trains en bout de quai. ça fait beacoup d'autant que st laz compte plus de 20 lignes sillons au départ, ils (le sncf) auraient pu en faire partir quelques un au lieu de tout bloquer encore une fois. Et ça n'enpêche pas des contrôleur de contrôler dans les trains, vraiment gonflés ces gens là, aucun sens commercial, que des préposés aux amandes.
j'ai récupéré ma gamine chez ma nourice à 21h30 !
merci qui ? merci la SNCF biensur

Anonyme a dit…

Voila le genre de comportement qui m'exaspère ! Si on vient faire des prises de vues dans les emprises de la SNCF pour une commémoration, la présentation d'un nouveau matériel, ou le record de vitesse du TGV, personne ne vous demandera si vous avez l'autorisation. On vous ouvrira même des portes normalement closes.

En revanche si vous faites des prises de vues lors d'une grève ou des perturbations, on ne manquera pas de vous demandez si vous avez l'autorisation, et plutôt 2 fois qu'une ! Ca ça m'énerve ! Messieurs les policiers soyez logique ! Soit vous contrôlez dans toutes les situations (bonnes comme mauvaises), soit vous ne contrôlez personne. Grrrrr !

Anonyme a dit…

Vendredi soir - 17h30 j'attrape le train au vol pour finalement attendre sur le quai - motif : incident de personne - personnes qui "déambulent" sur les voies (un spectable se prépare-t-il ?).
Après 1 h 30 on décide tout un groupe d'aller à montparnnasse pour rejoindre mantes. Surprise ! en arrivant à l'accueil de St Lazare, ca chauffe. On s'éloigne rapidement il risque encore d'évacuer la gare !!(13 janvier, le retour) Finalement nous arrivons à Mantes après 1h30 de voyage. Eh oui, sur la ligne de Montparnasse, faut pas être pressée. Nous rejoignons la gare de Bonnières grâce à un mari venu nous chercher en voiture. Nous rentrons enfin sur Vernon. Pas de bon de retard, c'est pas leur faute, les pauvres petits....(SNCF). Il est 22 h quand j'arrive chez moi. Ouf le week end arrive pour me reposer.
Lundi soir - le 16 h 20 est retenu en gare pour transporter les voyageurs du 16 h 53 qui est supprimé. ET ca continue.... Préparez-vous Jeudi c'est la grève.

Anonyme a dit…

Parking de la Gare: le bons sens municipal!!!
La SNCF nous aimerait-elle tant qu’elle fait tout pour nous retenir ?
Après le cadencement, joujou de M. Le VERN, Monsieur le maire de Vernon a autorisé des travaux sur le parking de la gare. Le bon sens de la Mairie ne l'a pas incitée à faire réaliser deux sorties sur la voie publique alors que cet aménagement était prévu.
Résultat: 2 entrées pour 1 sortie!

Avec le nouveau système de barrière automatique actionné via une carte magnétique, il faut plus de 15 minutes, le soir en période d’affluence, pour sortir de ce parking.
Nous devions déjà supporter des retards réguliers de train, il nous faut maintenant, depuis le 18 janvier 2009, être bloqués pour rentrer à notre domicile.

Que souhaite M. Nguyen Thanh ? Que les usagers de la SNCF se garent dans les rues adjacentes ? Au moins, cela aura l’intérêt d’économiser 43 € et d’éviter le soir, un trajet Travail - Domicile, de 1h45 (1h de train et non plus 0h45 depuis décembre 2008, grâce à M. Le Vern, + 0h30 de retard SNCF en moyenne, puis 0h15 pour sortir du parking SNCF)...

Le bon sens ne rythme ni la SNCF, ni la Région , ni la Ville de Vernon. L'une avec ses retards et ses annulations permanents , l'autre avec ses cadencements fous et inappropriés à l'usager , la dernière enfin , avec l'absence de réflexion sur les sorties du parking , sur la voie publique. N'est-ce pas Ph N.G.T, et ses amis , qui parlent sans arrêt , des plans de circulation et de développement durable ??? Quelles belles illustrations !

zozo27 a dit…

Y'en a marre de subir !!! Plus le temps de vivre !!! Bon sang !!! Je suis pressée d'être au 31 janvier pour enfin pouvoir m'exprimer car, en ce moment, les usagers de Vernon et d'ailleurs sont à bout de nerf... Il faut se lever plus tôt afin de prévoir les trains supprimés ou les retards, le soir, il faut attendre presque 30 minutes, en ce qui me concerne et rentrer à pas d'heure... Et ne jamais profité de sa famille et et et surtout être dans un état de stress permanent qui empêche de dormir et rend irritable... Plus de vraie vie !!! Magnifique ! Pour chacun de nous, c'est un choix de résider en Normandie mais pas forcément de travailler à Paris... Et oui, il faut être honnête, les salaires ne sont pas les mêmes malgré les frais de transport ! Mais à l'heure actuelle, il faut énormément de courage et de perséverance...

Philippe Houlbec a dit…

Voici copie du mail que j'ai tranmis ce jour à la mairie de Vernon

Monsieur le Maire

Afin de limiter mon temps de transport, ce qui n'est pas facile avec la SNCF, je me suis abonné au parking de la gare.

Depuis l'entrée près de la gare, l'accès est beaucoup moins facile et plus dangereux. Distance allongée et intersections supplémentaires.

De plus l'unique sortie, obligeant certaines voitures à manœuvrer allonge considérablement l'attente pour sortir. Sans compter que la visibilité avec le grillage et les voitures garées en face sont encore autant de difficultés.

Je me suis rendu compte que les personnes se garant gratuitement dans la rue partaient en même temps que moi.

Quelle est donc l'utilité de payer 116,00 € par trimestre si on ne gagne pas de temps?

Afin de savoir si je dois continuer à utiliser ce parking, je vous serais gré de bien vouloir me répondre sur vos intentions quand au devenir de ce parking, soit directement, soit à l'occasion de la réunion de Vernon train de vie qui abordera ce sujet.

Je ne pourrai être présent mais l'information suivra.

Veuillez croire, Monsieur le maire, à l'assurance de mes salutations distinguées.

Anonyme a dit…

Le sujet du parking sera abordé samedi, c'est prévu.
Le Maire est prévenu d'ailleurs.