Mercredi 24 janvier 2007.
Vernon, train 3134 de 8h03.
Ce matin il fait froid et il a un peu neigé sur la Haute-Normandie. Ce n'est pas bon signe car il est bien connu que la chute de quelques flocons paralyse notre beau pays. Avec quelques angoisses, je prends comme d'habitude le "direct" du Havre, un superbe Corail Bleu à deux niveau. Le 3134 de 8h03 à Vernon. Il arrive. Ouf.
Evidemment, pour m'ennerver un peu plus, je dois subir le sans-gêne et le manque de savoir vivre de certains et certaines qui n'hésitent pas à emprunter la porte d'accès arrière d'une voiture de 1ere classe pour rejoindre la voiture adjacente de 2eme classe, où nous attendons bien poliment la descente de tous les voyageurs... Tous ça pour se réserver une "4 places" afin d'y dormir en paix. On se fera un jour un tableau des usages et coutumes dans les voitures, ceux là y figureront en bonne place.
Notre train continue sa route pour Paris à bonne vitesse mais nous devons déchanter vers Vernouillet, nous ralentissons sévèrement. Pourtant pas de chasse-neige à l'horizon, pas de congères, pas de problèmes électriques... Encore un joli retard en perspective.
Bingo. Nous arrivons à Saint-Lazare à 9h02, soit 13 mn de retards. Aucune explication ni de mots d'excuses de la part du contrôle. J'ai bien sûr raté ma correspondance de 9h01 pour La Défense, j'arrive à prendre avec de la chance le train de banlieue de 9h04 qui est ... légèrement en retard ;-)
Arrivé au boulot à 9h25. Presque 2 h de porte à porte.
Pas mal.
Et demain ?
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